Carifiesta is one of Montréal’s most colourful and exciting parades, featuring everything from steel-pan bands to participants dressed in costumes made of colourful feathers and bouncing fibreglass rods.
Carifiesta is a tradition born of slavery in Trinidad and Tobago, when French colonial masters hosted masquerade balls three days before Ash Wednesday. Slaves got a day off and mimicked their masters at their own parties, a tradition that morphed into Trinidad’s famed Carnival.
That tradition migrated north to such cities as Miami, New York, Toronto and Montréal. Montréal’s competing floats, known as “mas bands,” all “play mas” (as in masquerade). Participants in “mas camps” throughout the city “build mas” (stitch costumes and build floats).
The annual big parade through downtown Montréal draws more than 100,000 spectators.
Énergique et haute en couleur, la Carifiesta est un joyeux défilé réunissant ensembles de steel drum et participants en tenue à plumes maniant avec adresse des bâtons en fibre de verre.
La Carifiesta est une tradition remontant à l’époque de l’esclavage. À Trinidad et à Tobago, lorsque, trois jours avant le mercredi des Cendres, les colons français tenaient un bal masqué, leurs esclaves avaient droit à une journée de repos. Ils en profitaient alors pour faire la fête à leur tour et se moquer de leurs maîtres. De là est né le fameux carnaval de Trinidad.
Cette tradition a voyagé en Amérique du Nord, dans des villes comme Miami, New York, Toronto et Montréal. Chaque année, les mas bands (mas est le diminutif de masquerade) sur les chars allégoriques du défilé montréalais sont en compétition, après s’être préparés dans des mas camps, où chars et costumes sont créés.
Ce grand cortège annuel attire plus de 100 000 spectateurs au centre-ville de Montréal.
The buzz on this 30-year-old singer and harmonica player was insane when he made his Festival debut in 2008: destined for a great future, a virtuoso, a voice that’s a national treasure… And Németh lives up to it all with a 2nd solo album on the Blind Pig label, Love Me Tonight, an updated version of the classic Chicago blues of the ’50s and ’60s that suits him to a T. Hey, we’re running out of words to hype this guy-go see him!Source: https://montrealjazzfest.com
Il y avait tout un buzz au sujet de l’harmoniciste de 30 ans lors de sa première visite au Festival en 2008 : voué à un avenir prometteur, un virtuose, un trésor national… Et Németh poursuit sur sa lancée avec un 2e album solo étiqueté Blind Pig, Love Me Tonight, une veine blues Chicago classique années 50 et 60 en version actualisée qui lui sied si bien que bientôt, on manquera de mots pour l’encenser ! Source: https://montrealjazzfest.com
Born in Montréal, blues vocalist Valérie Clio was raised in Brooklyn, where she sang Gospel in church choirs from the age of 12. Her strong vocals and her love of soul, blues and gospel brought her to perform in churches and clubs throughout her teenage years and early adult life. Upon her return to the province, she formed the Blues Highway, and almost instantly accumulated accolades and awards thanks to her rich vocals and energetic live performances. In 2010, she took home the “Best New Group” award from the Quebec Lys Blues Awards. With band members Shaw Rice (guitar), André Lavergne (lapsteel), Sébastien Champagne (piano), Yannick Lambert (bass) and Serge Poulin (drums), she released her long-awaited and lauded debut album, My First Blues, in 2009.Source: https\\www.montrealjazzfest.com
Native de Montréal, la chanteuse blues Valérie Clio grandit à Brooklyn, où elle fait ses débuts comme chanteuse à 12 ans dans des choeurs gospel. À son retour au Québec, elle s’installe à Québec et forme Blues Highway. Le groupe se fait rapidement remarquer sur scène grâce à la voix puissante et à la présence énergique de sa meneuse. En 2010, Clio and the Blues Highway remporte le prix « Groupe Révélation », lors du gala Lys Blues. Flanqué de ses musiciens, Shaw Rice (guitare), André Lavergne (lapsteel), Sébastien Champagne (piano), Yannick Lambert (basse) et Serge Poulin (batterie), l’artiste lance en 2009 un premier album très attendu, My First Blues. Source: https\\www.montrealjazzfest.com
Israel born Guy King moved to Memphis, Tennessee at 16, before finally settling for Chicago, in the hopes of starting his musical career. There, he met blues legend Willie Kent, who would become his mentor and with whom he would collaborate, until Kent’s passing in 2006. As Kent’s bandleader and guitarist, King toured the world to the tune of 300 shows a year in just over five years. In 2001, the young guitarist recorded and co-produced Kent’s award-wining and critically acclaimed album Comin’ Alive!. In 2006, King’s career as a leader took off with the formation of the Guy King Band. King’s debut solo album, Livin’ It, was released in 2009.
Natif d’Israël, Guy King suit ses parents jusqu’à Memphis, au Tennessee, à l’âge de 16 ans. Plus tard, le jeune musicien s’installe à Chicago pour faire carrière musicale. C’est la qu’il fait la rencontre fortuite du légendaire bassiste Willie Kent, qui deviendra son mentor jusqu’à sa mort, en 2006. En tant que chef d’orchestre et guitariste pour Kent, King se sera produit sur scène plus de 300 fois par année en l’espace de seulement cinq ans. En 2001, le jeune guitariste s’occupe de la réalisation de l’album Comin’ Alive de Kent. En 2006, il se lance dans une carrière solo prometteuse en tant que leader avec le Guy King Band. Livin’It, un premier album solo, paraît en 2009. Source; https://www.montrealjazzfest.com